Otavalo est reconnue comme la capitale de l'artisanat dans tout l'Équateur.
Ce n'est pas très loin de Quito, mais la route pour s'y rendre est sinueuse et parsemée de canyons qu'il faut contourner, c'est à couper le souffle et surtout, très étourdissant.
Nous roulons sur la route des volcans et cette fois-ci, c'est le majestueux Cayambe qui s'offre à nous avec lui aussi, des neiges éternelles.
Juste avant d'arriver à Otavalo, nous passons la ligne imaginaire ou non qui démarque le nord du sud.
Otavalo, au pied de l'Imbaburra, c'est d'un pittoresque. Le marche est là, tout en bas, déjà rempli de ces tentes qui offrent tout ce qui fait le charme de l'Équateur. Nous faisons un premier tour pour se faire une idée de ce que l'on veut.
Puis, c'est le temps des achats et surtout du marchandage.
C'est ce qui est le plus fantastique ce marchandage.
Et comme nous sommes avec la soeur de Solveï, Maybrit, ça parle haut et fort, ça gesticule, c'est théâtral, c'est la comédia del arte mais surtout, c'est drôle et tout le monde rit.
Nous finissons toujours par faire baisser les prix et chacun y trouve son profit.
Tuques, bas, foulards, chandails, pantalons (pyjamas), couvertures, bijoux, cuir, tapis.
Chacun a sa liste et comme nous sommes jeudi, il y a moins de touristes et c'est plus facile de faire baisser les prix.
J'ai l'impression d'être dans un autre monde, c'est vraiment pittoresque.
Je ramène d'Otavalo quelques effets personnels, mais surtout, des images inoubliables.
Nous passerons les derniers jours à nous promener entre Quito et Latacunga, à payer une dernière visite à Susana et Neils et à découvrir un peu plus ce pays andin.
Comme le dit Christine, c'est facile d'aimer l'Équateur car c'est relax.
Et Anne-Sophie dans tout cela, dans ce souk équatorien. Bien, avec ses yeux bleus, elle a tôt fait de charmer tout ce beau monde et du charme, elle en a.
8.10.2010
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