7.27.2010

Aeropuerto de Puerto Villamil

Hola Christiane.
Debout de bonne heure, personne n'a bien dormi.
De la musique à tue-tête toute la nuit, c'était la fête au village.
Oma et Christine ont tôt fait de se préparer, les valises étant faîtes de la veille.
Anne-Sophie dort encore à leur départ, je suis triste de les voir partir.
Je me retrouve seul avec mon espagnol si rudimentaire.
J'ai juste le temps de boire un jus et d'avaler un croissant avant que mon taxi ne nous emporte.
Arrivée à l'aéroport, minuscule mais joli et bien tenu.
Première consatation, l'avion est plus que plein.
Nous serons du deuxième vol, celui de 9am, qui partira à 10:30am.
Il n'y a rien d'autre à faire que d'attendre.
L'avion est un coucou d'une autre époque.
On le remplit d'essence en grimpant sur l'aile et en vidant des bidons de fuel à la main, à travers un tamis.
Je m'installe à l'arrière avec Anne-Sophie, il y a 8 places plus les 2 pilotes.
C'est bruyant, mais ça vole et la vue fantastique, un vol d'à peine 25 minutes.
Nous arrivons par le nord, le temps est dégagé, on voit tout, même la piste d'atterrissage, j'aime tellement l'avion.
Les douanes quand on arrive d'une autre île sont inexistantes.
Je saute dans la bus qui traverse Balra, puis c'est le traversier et un autre bus. Ça se fait rapidement, je n'ai pas de bagages et c'est ma 2ième expérience.
C'est plein de touristes de partout, Français, Italiens, Allemands.
J'arrive à la maison à midi, Oma et Christine étaient inquiètes.
Elles s'imaginaient toues sortes de scénarios.
J'apprend que ma blonde a été malade, pire que moi, sur le retour.
La douche est longue et chaude.
Et la sieste encore plus longue...

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