Hola Christiane.
Première sortie au village de Puerto Villamil, le seul vrai village de l'ïle, quoiqu'il y a un autre petit village de fermiers dans les hauteurs de cette partie de l'Île Isabela, la plus grande de l'archipel.
Elle fait la moitié de toute la surface des Îles et elle ressemble à un hippocampe en envers.
Les rues sont de sable blanc, il n'y a pas de voitures ou si peu, quelques motos et plein de bicyclettes.
C'est d'un calme et cette plage au centre du village, immense, à perte de vue.
Je n'ai pas oublié ce que je viens de vivre, une des pires expériences de ma vie, fini le bateau pour moi.
Le village est tout petit, quelques milliers d'habitants tout au plus.
On a eu tout juste le temps de défaire nos valises qu'on part se chercher un petit resto.
On jette notre dévolu sur celui qui porte le nom de César.
Dans mon cas, il n'aura du nom que peu d'affinités avec l'auguste empereur.
Mon poulet n'est pas assez cuit, pire on me le remplace par un autre morceau, tiède et encore mal cuit, c'est mal parti mon affaire.
Comme nous passerons qu'une seule journée dans l'île et le village, on décide d'aller au lit de bonne heure, question d'être en forme pour le lendemain.
La levée des corps se fait de bonne heure et dans la joie.
Tout le monde a hâte d'aller à la plage et de marcher dans la ville.
Anne-Sophie passera une bonne partie de la journée à la plage, comme tout le monde d'ailleurs.
Nous avons pris une pause en avant-midi pour aller marcher sur un sentier de bois de plus d'un kilomètre dans les lagunes.
Nous serons récompensés par la présence d'un flamand rose ( il y a quelques colonies de flamands aux Îles) et de beaucoup d'espèces d'oiseaux aquatiques. Le sentier est des plus intéressants, nous faisant passer d'un type de végétation à un autre.
Nous faisons aussi une halte à la station d'élevage des tortues.
Bien mieux organisée cette ferme et plus intéressante, parlez en à Anne-Sophie.
Anne-Sophie est au paradis, pas d'autos, que des vélos, une plage immense et des bébés iguanes pour s'amuser.
Elle marche et courre toute la journée, joue dans le sable et dessine des fléchettes avec ses petits doigts.
Sa maman aussi est au paradis, elle relaxe et prend soin de sa fille, ça se câline.
Oma en profite pour prendre le large, faire de la photo, marcher en solitaire.
J'en profite pour prendre une décision, je retournerai sur Santa Cruz en avion avec Anne-Sophie.
Mais d'ici demain matin, nous profitons de la plage si belle et si sauvage.
Contrairement à Puerto Ayora qui n'a pas de plage directement sur la ville (il faut marcher près d'une heure), la plage ici, à Puerto Villamil est partout présente, à 5 minutes de marche de notre auberge.
Il y a une petite jetée qui semble le point de rendez-vous des jeunes. On y joue au foot sur la plage, comme quand j'étais jeune et que nous jouions au hockey dans la ruelle.
Le temps file, on se trouve un resto pour y manger, ceviches, poisson grillé, curry de crevettes, crevettes grillées.
Couchés de bonne heure car pour Oma et Christine, leur bateau repart à 6am, mon avion lui décolle à 8am.
Je pourrai relaxer avec la puce avant de me rendre à l'aéroport.
Hasta luego.
Tout le monde a hâte d'aller à la plage et de marcher dans la ville.
Anne-Sophie passera une bonne partie de la journée à la plage, comme tout le monde d'ailleurs.
Nous avons pris une pause en avant-midi pour aller marcher sur un sentier de bois de plus d'un kilomètre dans les lagunes.
Nous serons récompensés par la présence d'un flamand rose ( il y a quelques colonies de flamands aux Îles) et de beaucoup d'espèces d'oiseaux aquatiques. Le sentier est des plus intéressants, nous faisant passer d'un type de végétation à un autre.
Nous faisons aussi une halte à la station d'élevage des tortues.
Bien mieux organisée cette ferme et plus intéressante, parlez en à Anne-Sophie.
Anne-Sophie est au paradis, pas d'autos, que des vélos, une plage immense et des bébés iguanes pour s'amuser.
Elle marche et courre toute la journée, joue dans le sable et dessine des fléchettes avec ses petits doigts.
Sa maman aussi est au paradis, elle relaxe et prend soin de sa fille, ça se câline.
Oma en profite pour prendre le large, faire de la photo, marcher en solitaire.
J'en profite pour prendre une décision, je retournerai sur Santa Cruz en avion avec Anne-Sophie.
Mais d'ici demain matin, nous profitons de la plage si belle et si sauvage.
Contrairement à Puerto Ayora qui n'a pas de plage directement sur la ville (il faut marcher près d'une heure), la plage ici, à Puerto Villamil est partout présente, à 5 minutes de marche de notre auberge.
Il y a une petite jetée qui semble le point de rendez-vous des jeunes. On y joue au foot sur la plage, comme quand j'étais jeune et que nous jouions au hockey dans la ruelle.
Le temps file, on se trouve un resto pour y manger, ceviches, poisson grillé, curry de crevettes, crevettes grillées.
Couchés de bonne heure car pour Oma et Christine, leur bateau repart à 6am, mon avion lui décolle à 8am.
Je pourrai relaxer avec la puce avant de me rendre à l'aéroport.
Hasta luego.
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