7.13.2010

Islas Galapagos

Hola Christiane.
Jeudi matin, lever de bonne heure.
Une autre nuit agitée pour Anne-Sophie.
Les parents commencent à manquer de sommeil, les peaux sont courtes.
Juste le temps de descendre les bagages en bas, nous couchions à l'étage, et c'est le départ pour l'aéroport.
Le ciel est dégagé, les volcans nous accompagnent pour la randonnée en auto vers l'aéroport de Quito.
Le Cotopaxi est là, majestueux, grandiose avec ses neiges éternelles. Il est aux Équatoriens ce que le mont Fuji est aux Japonais.
Le temps de s'enregistrer et nous marchons sur le tarmac pour se renrde à l'avion.
Un premier vol de 30 minutes pour se rendre à Guayaquil puis c'est le départ pour les Îles Galapagos.
L'excitation me gagne.
Anne-Sophie dort depuis la première minute qu'elle est assise sur moi dans l'avion.
Pauvre petite, ses dernières nuits ont été plutôt agitées.
Elle dort toute blottie sur moi, c'est encore un bébé, mon bébé chéri.
Dort mon ange, bientôt, nous serons aux Îles Enchantées.
L'avion ralentit et perd de l'altitude.
Voilà Daphne Major, où Peter et Rosemary Grant ont passé tant de temps à observer les pinsons de Darwin.
L'aéroport des Îles est sur Baltra.
Première impression, c'est désertique.
Il fait beau, 22Celsius et une bonne brise venant de la mer.
Il faut prendre l'autobus pour se rendre au traversier, car il y un canal entre Baltra et Santa Cruz.
Une fois de l'autre coté du canal, nous optons pour un taxi, une randonnée de 30 minutes à $12 pour se rendre à Puerto Ayora, de l'autre coté de l'île de Santa Cruz.
Partout dans le ciel, les Frégates, ces pirates des airs, volent de façon si majestueuse avec leurs grandes ailes en delta.
Une fois rendues en ville, nous appelons le proprio de la maison que nous avons loué, faisons une première épicerie et rembarquons le tout dans un autre taxi. On peut dire que ce dernier taxi est plein à raz bord. En ville, une randonnée coûte $1 peu importe la distance.
Notre maison, c'est le grand luxe, ce sont les mots de ma blonde et elle parle en connaissance de cause.
La maison est flambant neuve, nous sommes les premiers à l'habiter.
Nous vidons nos valises, installons nos affaires et on se reparle après la sieste.

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