3.22.2010

De la viste pour Anne-Sophie

J'ai accepté de rendre service à une consoeur du lab de Christine.
Elle avait besoin d'un endroit où déposer sa (jolie petite) fille, le temps d'un meeting avec son superviseur de thèse de doctorat.
J'ai tout naturellement accepté de prendre charge de sa fille, le temps de quelques heures.
Première constatation, Allison pleure et chigne tout le temps et morve comme une fontaine.
Après une heure de chignage sans fin, j'ai utilisé la même méthode qu'avec Anne-Sophie, au lit les bébés qui chignent. Il y a une fin, une limite à tous ces cris, mes oreilles en ont assez.
Aussitôt au lit, aussitôt endormie, la sainte paix.
J'en profite, je nourris Anne-Sophie, je la change de couche, nous joueons pendant qu'Allison dort.
Allison se réveille, en cris, pour faire changement.
Je nourris Allison et je couche Anne-Sophie.
Allison mange à peine, la pauvre, je l'ai traumatisé ou quelque chose qui ressemble à cela.
Anne-Sophie se réveille en criant, elle a attrapé le virus d'Allison ça n'a pas été long.
Il faut changer Allison, ça fait presque 3 heures qu'elle est arrivée.
À peine une trace de pipi dans sa couche, mais c'est fait. Bon Dieu, à peine elle est propre qu'elle force comme une déchaînée pour se vider. Je la change de nouveau.
Une autre odeur pestilencielle me chatouille le nez, c'est au tour d'Anne-Sophie de se vider.
On retourne sur la table pour un autre changement de couche.
Il me reste encore une heure avant le retour de la maman d'Allison.
On dirait que je n'ai fait que changer des couches.
M. Tomassi, ne comptez pas sur moi pour ouvrir une garderie.

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