3.18.2010

La maladie

Allo Christiane.
J'ai jonglé toute la journée, quoi écrire.
Je pensais à Mathilde tout le temps et à ses parents, leurs angoisses.
Pas vraiment le goût de rien, aucun sujet ne me venait à l'esprit.
C'est fou comme nous sommes sans réponse devant la maladie d'un être cher, pire si c'est notre enfant. Je pense que c'est la situation la plus frustrante auquelle on puisse faire face.
Surtout quand c'est sérieux comme problème.
Je m'inquiète pour Mathilde, je n'ose pas m'imaginer dans pareille situation, Anne-Sophie hospitalisée.
Je suis certain qu'on passe par toute la gamme des émotions.
Je vous embrasse et suis tout avec vous.
Mes petites misères me semblent bien petites.

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